AchetezDans la mĂ©moire aimante de mon grand-pĂšre pour toujours dans mon cƓur Sweat Ă  Capuche livraison gratuite retours gratuits selon Ă©ligibilitĂ© (voir cond.) Choisir vos prĂ©fĂ©rences en matiĂšre de cookies. Nous utilisons des cookies et des outils similaires qui sont nĂ©cessaires pour vous permettre d'effectuer des achats, pour amĂ©liorer vos expĂ©riences d'achat et fournir nos

a revoirPrĂ©sentĂ© parLaurent DelahousseDiffusĂ© le 11/06/2022DurĂ©e 00h35 Ce document a reçu le Grand Prixdu Festival international du grand reportage d’actualitĂ©et du documentaire de sociĂ©tĂ© 2022 FIGRA- SĂ©lection officielle des moins de 40 minutes -A l’heure oĂč la question de la fin de vie et de la dĂ©pendance des personnes ĂągĂ©es dĂ©fraie la chronique, voici l’histoire de Patricia Herrscher. Elle a dĂ©cidĂ© de quitter Paris, son mĂ©tier d’architecte d’intĂ©rieur, son logement
 pour s’occuper, dans un petit village du Perche, de son pĂšre atteint de la maladie d’ l’a fait sortir de la maison de retraite et ils vivent dĂ©sormais sous le mĂȘme toit. AprĂšs avoir bataillĂ© pour ramener son esprit dans le monde de la logique, elle a finalement pris le parti d’entrer dans le sien, celui de la fantaisie, de la poĂ©sie
 Un voyage au pays de l’amour entre une fille et son "aidants" souvent dĂ©munisRien ne prĂ©parait Patricia Ă  devenir "aidante", un travail Ă  plein temps pour lequel il n’existe pas vraiment de formation. Et elle a appris Ă  dĂ©couvrir comment l’aider au mieux. Dans ce document du magazine "13h15 le samedi" Twitter, 13h15, signĂ© Vincent Nguyen, Jean-Charles Guichard et Mathieu Parmentier, elle dĂ©voile son maladie concerne 3 millions de Français, malades et proches, et Patricia a compris qu’il est inutile et douloureux de lutter contre. L’accepter et vivre avec, jouer avec mĂȘme, permet paradoxalement d’en retarder les effets. Elle partage son expĂ©rience car elle veut "aider les aidants", souvent dĂ©munis dans une telle situation.> Les replays des magazines d'info de France TĂ©lĂ©visions sont disponibles sur le site de Franceinfo et son application mobile iOS & Android, rubrique "Magazines".dataimage/gif;base64,R0lGODlhAQABAAAAACH5BAEKAAEALAAAAAABAAEAAAICTAEAOw==
MĂ©moirede mon grand-pĂšre en 81 objets. Spectacle bilingue français/LSF. D’aprĂšs une libre adaptation de Thomas Scotto. DurĂ©e : 55 minutes. Tout public Ă  partir de 7 ans . Jauge : 200 personnes. Une rue, un jour de brocante. Chacun
Aurore Vigouroux, native de Cherbourg Manche, souhaite remettre la main sur des photos de son grand-pĂšre cuisinier sur un chalutier dans les annĂ©es 60. Pour effacer ses regrets. Par Thibaud Delafosse PubliĂ© le 29 Mai 21 Ă  1839 mis Ă  jour le 29 Mai 21 Ă  1840 Comme le Jacques-Louise, La Belle Poule a Ă©tĂ© Ă©difiĂ©e par les chantiers navals Bellot. ©La Presse de la MancheAurore Vigouroux nourrit des regrets. Elle qui n’a pas Ă©coutĂ© plus attentivement son grand-pĂšre maternel, Robert Leguen, lorsqu’il racontait la dizaine d’annĂ©es passĂ©es Ă  bord d’un chalutier. DĂ©cĂ©dĂ© il y a quatre ans, l’homme fut cuisinier sur La Belle Poule jusqu’en 1968, un bateau construit Ă  Cherbourg Manche en 1956 par les chantiers navals Bellot. Les mĂȘmes qui en juillet 1959, quelques annĂ©es avant d’ĂȘtre liquidĂ©s judiciairement en octobre 1997, mettaient Ă  l’eau le Jacques-Louise. Un chalutier classĂ© monument historique, qui a rĂ©cemment Ă©tĂ© achetĂ© par la ville de Cherbourg-en-Cotentin dans le but de le restaurer et de l’ouvrir aux visiteurs. Des petites couchettes Ă©troites »Revenons-en Ă  La Belle Poule, le premier chalutier Ă©difiĂ© par les chantiers navals Bellot. Un bĂątiment pas trĂšs confortable, oĂč Robert Leguen et les 5/6 membres de l’équipage dormaient dans des petites couchettes trĂšs Ă©troites ». Avec, qui plus est, le bruit infernal continuel du moteur ». L’un des pĂȘcheurs en a mĂȘme eu le mal de mer toute sa vie ». Ces bribes de souvenirs sont les seuls d’Aurore Vigouroux et de sa mĂšre. La femme de 35 ans, native de Cherbourg, souhaite dĂ©sormais effacer ses regrets. Je n’ai aucune image de lui pendant cette partie de sa vie, aucune de lui sur le bateau. Je le regrette car il en parlait souvent mais je ne m’y suis jamais vraiment intĂ©ressĂ©e. Je n’ai pas Ă©normĂ©ment Ă©changĂ© avec lui sur le sujet. »Enrichir l’histoire familiale A dĂ©faut de l’aborder du vivant de son grand-pĂšre, Aurore tient Ă  retrouver de vieilles photos du chalutier. Pour ce faire, elle a notamment publiĂ© des annonces sur plusieurs groupes Facebook. Cette envie lui est venue il y a environ un mois. L’association Cherbourgetoi dont je fais partie va bientĂŽt organiser un Ă©vĂšnement sur le thĂšme de la mer, ce qui m’a motivĂ©e pour me replonger dans la vie de mon grand-pĂšre. Nous en parlions aussi lors des repas de famille. »En connaissant mieux l’histoire de son grand-pĂšre, qui fut par ailleurs dans la marine marchande et Ă  le milieu de la chaufferie Ă  Cherbourg, l’objectif de la trentenaire est aussi d’enrichir son histoire familiale ». Il est important de connaĂźtre la vie de nos aĂźnĂ©s ! Je me rends compte maintenant que c’est notre hĂ©ritage Ă  tous. Il y a deux semaines, par exemple, j’ai passĂ© quelques jours chez ma grand-mĂšre bretonne de 93 ans qui m’a racontĂ© plein de choses sur sa vie
 » Histoire de ne plus jamais avoir de regrets. Cet article vous a Ă©tĂ© utile ? Sachez que vous pouvez suivre La Presse de la Manche dans l’espace Mon Actu . En un clic, aprĂšs inscription, vous y retrouverez toute l’actualitĂ© de vos villes et marques favorites.
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Le8 Mai, jour de la commĂ©moration de la fin de la guerre 39-45, la commune a aussi honorĂ© ses hĂ©ros. Pour cette occasion et pour mettre Ă  l’honneur son arriĂšre-grand-pĂšre Georges Martina
Homme du futur », l’arriĂšre-grand-pĂšre de David B. Ricard aurait peut-ĂȘtre apprĂ©ciĂ© notre Ă©poque obsĂ©dĂ©e par la collecte d’images et l’immortalisation visuelle de nos moindres gestes. Comme plusieurs de ses contemporains, il capturait avec une camĂ©ra 8 mm les scĂšnes de sa vie familiale. À la mort de l’aĂŻeul, cet abondant matĂ©riel, tournĂ© entre 1956 et 1976, a Ă©tĂ© lĂ©guĂ© Ă  Ricard, alors ado de 16 ans aspirant Ă  devenir cinĂ©aste. Aujourd’hui documentariste et frĂ©quent collaborateur scĂ©nique de Florent Siaud, celui-ci s’en est inspirĂ© pour Le Kodak de mon arriĂšre-grand-pĂšre, dramatisĂ© et mis en scĂšne par Valery Drapeau. Une crĂ©ation assez originale sur la filiation, la mĂ©moire et le temps, qui combine cinĂ©ma, théùtre documentaire et performance musicale. Entre narration autobiographique et explications techniques sur le fonctionnement de ces machines obsolĂštes qu’il rĂ©ussit avec soulagement Ă  utiliser sur scĂšne, David B. Ricard commente des images, enregistrant le plus souvent des existences ordinaires NoĂ«ls, soupers de famille, vacances
 Et il interroge parfois les coutumes qui nous semblent dĂ©sormais Ă©tranges oĂč s’est perdue cette tradition de s’embrasser sur la bouche, au sein d’une famille ? Pourquoi se donnait-on en cadeaux des liasses de dollars ? Quant Ă  la dĂ©couverte surprise d’un film rĂ©vĂ©lant un premier mariage de son pĂšre, elle mĂšnera Ă  une discussion qui sera l’un des moments forts du rĂ©cit. Le spectacle dessine en effet le parcours d’un artiste qui, jeune, avait soif de relations affectives plus profondes, et Ă©tait plutĂŽt dĂ©solĂ© par la nature matĂ©rialiste de ces archives filmiques, mais qui paraĂźt comprendre aujourd’hui comment il se relie Ă  cette famille. Et saisir l’importance des objets, ces ancrages et tĂ©moins de nos vies, qui nous lient au passĂ©. Entre le passĂ© et le prĂ©sent Dans la salle intime du théùtre Prospero comme on l’a rarement vue, transformĂ©e en studio par la scĂ©nographe Justine Bernier-Blanchette, les trois murs crĂ©ent un environnement enveloppant pour la musique atmosphĂ©rique du guitariste Roger Cournoyer et du percussionniste Andrew Beaudoin. Dont quelques scĂšnes prenantes oĂč musique et images en boucle se rĂ©pondent, comme crĂ©ant un pont entre prĂ©sent et passĂ©, entre actions en direct et images figĂ©es dans le temps. La crĂ©ation comporte d’ailleurs une part d’improvisation, d’oĂč le cĂŽtĂ© spontanĂ© et donc parfois un peu brouillon du texte, oĂč la rĂ©flexion ne va pas toujours trĂšs loin. D’oĂč aussi certaines longueurs ainsi, quelques tentatives maladroites pour engager directement le public nous semblent inutiles. Mais s’il n’y a gĂ©nĂ©ralement rien de spectaculaire dans ces images d’inconnus engagĂ©s dans des activitĂ©s banales, c’est leur nature Ă  la fois familiĂšre et Ă©trange qui fait leur universalitĂ©, et donc leur intĂ©rĂȘt. Elles tĂ©moignent d’un passĂ© commun, celui de la classe moyenne quĂ©bĂ©coise, et le rĂ©cit individuel devient ainsi une histoire collective. Est-ce que, se demande David B. Ricard, nos selfies deviendront aussi un matĂ©riau intĂ©ressant dans 20 ans ? À voir en vidĂ©o
AdĂ©couvrir ce 17 avril dans “13h15, le samedi” sur France 2, le reportage « La mĂ©moire de mon pĂšre » signĂ© Vincent Nguyen, Jean-Charles Guichard, Mathieu Parmentier.
"M. le Président, respectez la mémoire de mon grand-pÚre !" Mon grand-pÚre était un tirailleur sénégalais. Il s'appelait Abdoul Banna Mbaye. Il a fait la premiÚre guerre mondiale. Il en est revenu avec une décoration. Comme de nombreux autres, parfois volontaires, souvent enrÎlés de force, mon grand pÚre s'est battu pour une cause qu'il pensait en rapport avec celle de son terroir. Il s'est battu contre un ennemi qu'il distinguait du colon. Sur le champ de bataille son souci restait de prouver sa bravoure et de pouvoir un jour retrouver la famille qui l'attendait sur sa terre natale. Non monsieur le Président, Abdoul Banna n'a pas risqué sa vie pour les desserts et sucreries qu'il aurait reçus de la hiérarchie militaire française ! Non monsieur le Président, Abdoul Banna n'aurait pas accepté sous les balles du front, une discrimination lui réservant des sucreries refusées à son voisin de combat africain. Monsieur le Président, respectez donc la mémoire de nos vaillants tirailleurs sénégalais. Ils étaient du Soudan, de la Haute Volta, du Dahomey, etc. Leur sacrifice pour la France a été un facteur déterminant dans le processus de décolonisation qui a abouti à l'indépendance des pays africains. Monsieur le Président, respectez la mémoire de tous ceux qui se sont battus, souvent au prix de leur vie, au point de rendre inéluctable une décolonisation que vous osez présenter comme pacifique, oubliant pour le seul Sénégal les combats de Oumar F. Tall, Lat Dior, Ahmadou Bamba, les nombreux tirailleurs massacrés au camp de Thiaroye et de bien d'autres sur nos terres, et ailleurs en Afrique. La décolonisation de l'Afrique est également le résultat du sang versé pour cette lutte par des centaines de milliers d'algériens. Non monsieur le Président, la décolonisation du Sénégal n'a pas été pacifique. Elle est le résultat d'un processus historique global et dans la durée. Le sacrifice des tirailleurs sénégalais ne fut pas vain. Il ne fut pas la contrepartie de sucreries. Celles que malheureusement les dirigeants de certains pays d'Afrique ont accepté et continuent d'avaler en contrepartie du sang de leurs concitoyens. Ils se sont battus pour nous. Ils ont obtenu notre liberté au prix de leur sang versé. La vÎtre tout comme la mienne. Alors du respect pour leurs mémoires s'il vous plaßt ! Abdoul Mbaye Alliance pour la Citoyenneté et le Travail Dakar le 28 mai 2018
Lajournaliste Anne Sinclair revient sur la pĂ©riode de l'Occupation. Son grand-pĂšre a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© en dĂ©cembre 1941 et internĂ© Ă  CompiĂšgne.
EXCLUSIF - AprĂšs les accusations de collaborationnisme et d'antisĂ©mitisme portĂ©es contre le cĂ©lĂšbre dialoguiste des Tontons flingueurs, son petit-fils, StĂ©phane, pĂ©dopsychiatre et romancier, dĂ©fend sa mĂ©moire en parlant de l'homme intime et de ses paradoxes.Un tonton flinguĂ© par son passé» comme l'Ă©crit François Guillaume Lorrain dans Le Point? Alors que les Ă©ditions Fayard viennent d'exhumer Le Chant du dĂ©part, un roman inĂ©dit de Michel Audiard, L'Obs, Le Mondeet donc Le Point, reprenant le travail d'un historien de la littĂ©rature Franck Lhomeau, analyse pour la premiĂšre fois les premiers Ă©crits du futur dialoguiste publiĂ©s entre 1943 et 1944 dans des journaux douzaine de textes, des contes, des nouvelles mais aussi des critiques rĂ©digĂ©es essentiellement dans L'Appel, un journal pro-allemand, anti-maçonnique et antisĂ©mite, forment le corpus des recherches de Franck Lhomeau pour Temps noir, la revue des littĂ©ratures Audiard Ă  gauche parle de Michel, son grand-pĂšre, dans un entretien exclusif donnĂ© au Figaro». Rue des ArchivesBien que n'Ă©tant pas de natures politiques, dĂ©jĂ  dans un style grinçant, qui deviendra sa marque de fabrique, le jeune Michel Audiard n'hĂ©site pas Ă  manier les clichĂ©s alors attribuĂ©s aux francs-maçons et aux juifs. OubliĂ©s - cachĂ©s rĂ©pondront ses contempteurs - les premiers pas d'Audiard dans la presse, lui vaudront quand mĂȘme d'ĂȘtre interrogĂ© par la police Ă  l'automne 1944. SoupçonnĂ© d'actions anti-nationales et anti-françaises», une enquĂȘte est menĂ©e auprĂšs de ses parents adoptifs, de ses voisins et des habitants du quartier. Dans le procĂšs-verbal, retrouvĂ© aussi par Franck Lhomeau, il est Ă©tabli que ces derniers ne l'ont jamais entendu tenir des propos collaborationnistes». Entendu une derniĂšre fois par la police sur ses activitĂ©s pendant la guerre en mars 1947, son dossier sera ensuite dĂ©finitivement par cette affaire et l'opprobre qu'elle jette sur la mĂ©moire de son grand-pĂšre, StĂ©phane Audiard, pĂ©dopsychiatre et romancier, a dĂ©cidĂ© de rĂ©pondre Ă  cette FIGARO. - Pourquoi avez-vous souhaitĂ© faire publier Le Chant du dĂ©part, un roman qui semblait inachevĂ©?StĂ©phane AUDIARD. -Le Chant du dĂ©part, c'Ă©tait pas mal pour quelqu'un qui a cassĂ© sa pipe. Une sorte de chant du cygne, dernier round dans Paris avant de calancher. Il nous a semblĂ© important pour les admirateurs, pour l'histoire du cinĂ©ma de donner cet inĂ©dit Ă  lire. Mais au vu de certaines rĂ©actions et de quelques critiques peu amĂšnes, on pourrait regretter d'avoir pris la dĂ©cision de publier ce livre... Mais bon, non! Je n'aime pas penser Ă  reculons. Je laisse ça aux lopes et aux Ă©crevisses comme mon grand-pĂšre l'avait fait dire Ă  Lino Ventura dans un Taxi pour vous parlez de certaines rĂ©actions vous pensez aux rĂ©vĂ©lations sur le passĂ© collaborationniste de votre grand-pĂšre?Cette histoire nous a beaucoup remuĂ©, Jacques Audiard et moi. Nous savions qu'il avait Ă©crit dans des journaux pendant la guerre des nouvelles et des critiques. Son style, dĂšs ses dĂ©buts, Ă©tait grinçant. Dans le contexte de la Collaboration, dans un journal dirigĂ© par des pro-allemands, il a pu ĂȘtre injuste envers les juifs. Mais j'ai connu cet homme jusqu'Ă  l'Ăąge de quinze ans. À aucun moment, Michel n'a Ă©tĂ© antisĂ©mite. Je ne me souviens pas de la moindre trace d'une rĂ©flexion un peu oiseuse sur un juif. Rien, ça n'existait pas dans son discours public, ça n'existait pas avec les gens du mĂ©tier et ça n'existait pas dans l' pensez donc que le travail d'investigation historique sur un personnage aussi cĂ©lĂšbre que Michel Audiard ne prĂ©senterait aucun intĂ©rĂȘt?Non, bien sĂ»r, presque 80 ans aprĂšs les faits, le parcours de Michel Audiard appartient Ă  l'histoire. Et que l'on fasse un inventaire de son travail pendant la guerre, cela me paraĂźt trĂšs justifiĂ©. Maintenant, une fois ces principes rĂ©affirmĂ©s, il me semble que ce devoir de mĂ©moire se transforme en un procĂšs pour antisĂ©mitisme d'un homme qui, visiblement, en a Ă©tĂ© guĂ©ri en une comprenez pourtant que traiter, par exemple, l'auteur du Chant des partisans, Joseph Kessel, de youpin» dans une critique puisse choquer en 2017...Bien sĂ»r, l'expression est abjecte. Elle est condamnable, elle est condamnĂ©e aujourd'hui, elle ne l'Ă©tait pas pendant l'Occupation. La France, je le rappelle, vivait sous le rĂ©gime de Vichy. Si vous me permettez de dĂ©fendre la mĂ©moire de mon grand-pĂšre, je pense qu'il agit Ă  l'Ă©poque par faiblesse, par entraĂźnement. Il Ă©tait issu d'un milieu modeste, avait dĂ» arrĂȘter l'Ă©cole au certificat d'Ă©tude. Il va voler des vĂ©los, devenir une sorte de petit voyou et rencontrer dans ce milieu des mecs trĂšs Ă  droite comme Courtine. Ce dernier est secrĂ©taire de rĂ©daction Ă  L'Appel, un journal collaborationniste. Michel qui a toujours Ă©tĂ© bon en rĂ©dac» mais qui n'a que son certificat d'Ă©tudes a une chance rare de sortir de son milieu. Il va la saisir sans ĂȘtre trop regardant. NĂ© dans un autre temps, j'en suis sĂ»r, anarchiste comme il Ă©tait, il aurait pu Ă©crire dans des journaux d' croyez que ça s'est passĂ© aussi simplement...Certainement. En tout cas, si l'on veut juger, il faut prendre en compte l'atmosphĂšre vĂ©rolĂ©e de l'Ă©poque et aussi celle de l'entre-deux-guerres. On a aussi fait ce genre de procĂšs Ă  HergĂ© et Ă  Simenon. Je pense que la question juive, le problĂšme du racisme, la notion mĂȘme d'humanisme Ă©taient traitĂ©s assez diffĂ©remment Ă  l'Ă©poque. Cette remise en perspective n'excuse pas tout mais elle permet d'Ă©clairer, d'expliquer un comportement, une façon de voir le monde. En tout cas, il faut se garder de juger avec nos yeux et notre intelligence de Michel Audiard n'a jamais fait amende honorable sur cette pĂ©riode dans ces romans qui Ă©taient toujours Ă  caractĂšre autobiographique?Ce livre est une Ă©tape probablement intermĂ©diaire. Inabouti, il n'a pas voulu de son vivant qu'il soit publiĂ©, il existait peut-ĂȘtre une raison prĂ©cise Ă  cela, que j'ignore. Avec le recul, je pense qu'il avait la rage de ces annĂ©es-lĂ . Ça l'a meurtri puis ça l'a construit en opposition systĂ©matique Ă  toute forme d'ordre d'obligation, de servilitĂ©. Mais il n'a jamais osĂ© le rĂ©vĂ©ler, le dire. C'est peut-ĂȘtre dommage mais c'est ainsi. Au fond, il est mort trop tĂŽt pour oser se pencher sur ses la mort de votre pĂšre, François, la tristesse de Michel Audiard s'est-elle dĂ©finitivement transformĂ©e en forme de misanthropie?Vous savez, je suis le fils de François, le fils du mort. AprĂšs ce chagrin, Michel a changĂ©. Je ne sais pas si l'on peut parler de misanthropie mais on peut parler d'une terrible luciditĂ© face aux hommes et Ă  la vie. En fait, il a passĂ© beaucoup de temps avec moi. Il ne se contentait pas d'un talbin, donnĂ© Ă  la va-vite. Il Ă©tait prĂ©sent, aimant. VoilĂ , le Michel tendre, que j'ai connu. LesVictoires de la musique voientHTTP/1.0 200 OK Cache-Control: no-cache, private Date: Wed, 16 Mar 2022 14:18:26 GMT

ï»żLe but de ce voyage est d'honorer la mĂ©moire de mon grand-pĂšre et amasser un MINIMUM de [...]8000$ mais je veux en ramasser plus. The goal of this voyage is to honor the memory with my grandfather and to pile [...]up a minimum of 8000$ but I want to collect more. Cette section est dĂ©diĂ©e Ă  la mĂ©moire de mon grand-pĂšre Robert. This section [...] is dedicated to the memory of my grandfather Robert. Ma mĂ©moire la plus vive de San Juan Capistrano Ă©tait toute l'Ă©criture au crayon griffonnĂ©e partout sur les murs de la chapelle Sauvez mon grand-pĂšre du cancer. My most vivid memory from San Juan Capistrano was all the penciled writing scribbled all over the wall of the chapel 'Save my grandfather from cancer. Elle fait de la bicyclette, elle chante dans une chorale et elle joue des tours Ă  mon grand-pĂšre. She bicycles, she sings in a choir and she plays tricks on my grandfather. Madame la PrĂ©sidente, Membres du Parlement, chĂšre Luisa, ma chĂšre famille, [...] chĂšre Madame Sartaoui, je voulais [...] dĂ©dier mes paroles Ă  la mĂ©moire de mon pĂšre et de son ami palestinien, [...]Dr Issam Sartaoui, qui [...]ont rĂȘvĂ© ensemble de la paix, il y a trente ans. FR Madam President, ladies and gentlemen, Luisa, my [...] family, Mrs Sartaoui, I wanted to dedicate [...] this speech to the memory of my father and his Palestinian [...]friend, Dr Issam Sartaoui, [...]who both dreamt of peace thirty years ago. Mon grand-pĂšre a Ă©tabli la propriĂ©tĂ© familiale Ă  Lloydminster, mon pĂšre y a grandi et plusieurs de mes cousins y [...]habitent encore aujourd'hui. My grandfather homesteaded in Lloydminster, that's where my father grew up and I have many cousins who still live there. Mon grand-pĂšre m'a appris une chose que la plupart des chefs d'entreprise oublient il est important de prĂ©voir trĂšs tĂŽt sa propre succession. One thing I learnt from my grandfather, and that's something that most bosses tend to forget it is important to deal with the issue of your own successor [...]at a very early stage. Et je fais confiance Ă  la communautĂ© [...] de ses amis et de mes amis pour honorer la mĂ©moire du PĂšre Bat' lors de la belle messe [...]qui lui sera consacrĂ©e. And I am [...] sure that the community of his friends and my friends will honour the memory of Fr. Je voudrais dĂ©dier cet album Ă  la mĂ©moire de mon pĂšre. I would like to dedicate this album to the memory of my Father. La sagesse des anciens m'a Ă©tĂ© transmise par les enseignements de mon grand-pĂšre. The elders' wisdom was transmitted to me through my grandfather's teachings. Mon grand-pĂšre Ichiro, Premier Ministre Ă  l'Ă©poque, Ă©tait un dĂ©fenseur de la notion de yu-ai », [...]ou fraternitĂ©. My grandfather Ichiro, Prime Minister at that time, was an advocate of the concept of "yu-ai", or [...]fraternity. Abd Al Malik Un Ă©vĂ©nement un peu [...] tragique est Ă  la base de l'album le dĂ©cĂšs de mon grand-pĂšre maternel. Abd Al Malik [...] The album is based on the sad event of my maternal grandfather's death. C'est mon grand-pĂšre qui m'a fait visiter pour la premiĂšre fois Tbilissi oĂč nous avons rendu visite Ă  un de ses amis avec [...]qui ils avaient fait la guerre. My grandfather first took me to Tbilisi to a friend of his, with whom they had fought in the war. Lors de la bataille de la Somme, il y a tout juste 90 ans, mon grand-pĂšre et mon grand-oncle n'Ă©taient [...]dĂ©jĂ  plus. At the time of the battle of the Somme, exactly 90 years ago, my grandfather and great-uncle were no more. Cette annĂ©e j'ai eu non seulement le privilĂšge d'ĂȘtre chaperon de 23 jeunes adultes mais j'ai aussi ouvert [...] et clĂŽturer le camp en mĂ©moire de mon pĂšre. This year, I had the honor of not only being a chaperone for the 23 young adults, but also I was able to open [...] and close the camp in memory of my father. Ce site est aussi en mĂ©moire de mon grand-pĂšre Gilbert FrĂ©my, musicien et adepte de la peinture Ă  l'huile, [...]disparu il y [...]a plus de quarante ans, dont j'ai peu de souvenirs; seulement de belles peintures sur bois, de magnifiques aquarelles, et peut-ĂȘtre un peu de ses dons. This site is also in the memory of my late grandfather, Gilbert FrĂ©my, a painter and musician [...]who passed away around forty [...]years ago, leaving few actual memories but beautiful wood paintings, gorgeous watercolours, and maybe some of his gift. Je prĂ©fĂ©rerais [...] toujours un rĂ©cit dĂ©formĂ©, racontĂ© Ă  son petit fils par un grand-pĂšre Ă  la mĂ©moire hĂ©sitante, qu'un rĂ©cit objectif fait dans le musĂ©e d'Auschwitz. I'd much prefer a deformed account given to a grandchild by a grandfather with an uncertain memory to an objective account in the Auschwitz museum. Le Grand Conseil a prĂ©parĂ© un excellent mĂ©moire au sujet de la rĂšgle s'appliquant [...]aux enfants d'une mĂȘme famille et il fait Ă©tat d'une autre situation. They put together a great submission about the siblings rule and give a different [...]situation. Dr Joe Hornick Nous recevons une subvention de base [...] de l'Alberta Law [...] Foundation, mais tel que je le prĂ©cise dans mon mĂ©moire, la plus grande partie de notre financement vient des fonds allouĂ©s [...]aux projets pour lesquels [...]nous sollicitons l'intervention des fondations et des gouvernements fĂ©dĂ©ral et provinciaux. Dr. Joe Hornick We get some core [...] funding from the Alberta Law Foundation, but as I suggest in my brief, most of our funding comes from direct project [...]funds whereby we would [...]solicit federal and provincial governments and foundations, and they would fund specific projects. Depuis la mort de mon grand-pĂšre, je me suis souvent [...]demandĂ© ce qu'il aurait pensĂ© de mes dĂ©cisions Ă  propos de New Denner, [...]de l'achat de Pick Pay, de la vente de l'entreprise Ă  Migros. Since the death of my grandfather, I have often asked [...]myself what he would have said about my decisions regarding New Denner, [...]the purchase of Pick Pay, the sale to Migros. Sans aucun doute, j'ai ressenti la prĂ©sence de mon grand-pĂšre. I could feel the presence of my Grandfather - without a doubt! La premiĂšre fois que j'ai vu le vrai nom de mon grand-pĂšre Ă©crit en anglais, j'ai dĂ» dĂ©chiffrer Ă  travers mes [...]larmes les formes Ă©tranges [...]de ces lettres sur sa pierre tombale. The first time I ever saw my grandfather's real name in English, I glimpsed the strange shape of its letters on [...]his headstone through tears of mourning. J'ai constatĂ© ce que la possession d'une arme [...] signifiait pour mon grand-pĂšre et la valeur qu'il [...]accordait Ă  cette expĂ©rience. I appreciated how [...] much that meant to him and how much that experience [...]was valued by him. Cette maxime, je la tiens de mon grand-pĂšre maternel. I got that line from my maternal grandfather. Je dirige actuellement une [...] ferme mixte avec mon grand-pĂšre Ă  Fredericton, au Nouveau-Brunswick, en pleine ville, alors nous pratiquons beaucoup la commercialisation [...]directe. I currently run a mixed farm with my grandfather in Fredericton, New Brunswick, right in the city, so we do a lot of direct marketing. Une dĂ©putĂ©e doit pouvoir honorer la mĂ©moire de son pĂšre mĂȘme si la vice-premiĂšre [...]ministre ne partage pas ses opinions politiques. An hon. member [...] should be able to honour her father's memory even if the Deputy Prime [...]Minister does not share her political opinions. Mon collĂšgue perdra-t-il aussi la mĂ©moire lorsqu'il traversera de l'autre cĂŽtĂ© de la Chambre ou [...]rendra-t-il compte des rĂ©alitĂ©s [...]dans lesquelles il vit aujourd'hui? Will my colleague also lose his memory when he crosses to the other side of the House, or will [...]he remember what is happening today? Cinder organise maintenant un tournoi de [...] golf tous les deux ans en mĂ©moire de son pĂšre, et dont les profits sont versĂ©s Ă  la FRDJ. Now Cinder runs a [...] golf tournament in memory of her father every other year, with proceeds going to JDRF. J'ai ensuite lu la rĂ©daction de mon testament de l'annĂ©e derniĂšre, Ă©crite elle aussi au cours des exercices spirituels - je l'ai comparĂ©e avec le testament de mon grand prĂ©dĂ©cesseur et PĂšre Paul VI, avec ce sublime [...]tĂ©moignage sur la [...]mort d'un chrĂ©tien et d'un pape - et j'ai renouvelĂ© en moi la conscience des questions auxquelles se rĂ©fĂšre la rĂ©daction du 6. I therefore read the draft of my Testament as it was recorded last year, also written during the spiritual exercises - I compared it with the Testament of my great Predecessor and Father, Paul VI, with his sublime [...]testimony on the [...]death of a Christian and a Pope - and I reminded myself of the matters mentioned in the draft of 6 March 1979, prepared by me in a somewhat makeshift manner.

. 761 207 333 205 766 161 635 615

à la mémoire de mon grand pÚre